Nom | François * Légereau | |
Naissance | 27 fév 1814 | Pontoise, Val d'Oise ![]() |
Sexe | M | |
Profession | Mulquinier | |
Décès | 11 nov 1846 | Quiévy, Nord ![]() |
âge | 32 années | |
Notes |
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ID personne | I8599 | Gerbier | Légereau |
Dernière modif. | 11 juil 2014 |
Père | François * Légereau, n. 07 août 1784, Brion près Thouet, Deux Sèvres ![]() ![]() | |
Mère | Catherine Margarethe * Schäper, n. 11 août 1785, Bramkamp, Allemagne ![]() ![]() | |
Mariage | après 1814 | |
ID Famille | F3333 | Feuille familiale |
Famille | Séraphine * Davoine, n. 20 oct 1816, Quiévy, Nord ![]() ![]() | |||||||
Mariage | 13 avr 1836 | Quiévy, Nord ![]() |
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Enfants |
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ID Famille | F3329 | Feuille familiale |
Carte d'événements |
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Légende |
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Documentation | ![]() | Armes des Mulquiniers de Quiévy (Nord) Émile Littré, Dictionnaire de la langue française (1872-1877) mulquinier MULQUINIER (mul-ki-nié) s. m. Ancien terme de commerce. Celui qui fabrique des toiles fines. Défendons à tous fabricans, tisserands et mulquiniers, de se servir d'aucun ingrédient pour plaquer, cirer ou gommer les pièces de batiste et linons, Lett. patent. du 9 août 1781, Flandre et Hainaut. HISTORIQUE XIVe s. DU CANGE, melocineus.: Jehan Ratel telier de toiles.... Mathieu Wiet meulequinier ÉTYMOLOGIE Mullequin |
![]() | Mulquinier à l'ouvrage C'est dans le tissage que les habitants de Quiévy, comme ceux en général des autres villages environnants, ont trouvé non seulement une occupation secondaire lorsque les travaux des champs ne les retenaient pas mais aussi et surtout une profession lucrative, plus rémunératrice certes, et moins dure que la culture des champs, lorsque, par suite des circonstances de famille ou de situation, ils devaient y consacrer tout leur temps et toute leur intelligente activité. Même à notre époque de machinisme, on peut imaginer et réaliser toutes les professions qui devaient venir en aide au tisseur pour qu'il put de son métier, de son « étile », dans la cave obscure et humide où il lançait la navette, faire sortir après de longs jours de travail assidus et pénibles, la fine toile de batiste ou de linon destinée à l'exportation, ou la grossière étoffe de chanvre qui servirait aux usages journaliers du ménage, ou les draps de laine destinés à faire les « paletots » et les « brayes ». La matière première était trouvée dans le pays, soit par la toison des « bestes blanches », soit par les récoltes des champs. |
Sources |
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